Je voudrais écrire un poème
Que le taulier accepterait.
Ce poème ne parlerait
Hélas pas du nombre qu'il aime.
Il faudrait trouver une idée,
Un peu comme les vers bancals
De Sylvie qui jamais ne cale
Quand son vers il lui faut vider.
Une strophe de huit vers
Comptons sept pour la troisième
Quant au mètre, c'est idem
Tout est monté de travers !
Cher lecteur trinque avec nous
Si tu tiens toujours debout,
Pour ce blog : lève ton verre !
Prosit!
RépondreSupprimerMagnifisc ! des vers comme ça… ça en impose. Alors, PROSTATE ! à l’auguste tenancier de ce blog, j’ai nommé... hic... « Francky c’est bon »... hic ! hic !
RépondreSupprimerSigné. Le Yéthylique (un abominable ivrogne des neiges).