Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
dimanche 30 octobre 2011
Retour aux sources
J'ai compté 807 graviers, puis je me suis arrêté. Le chemin était vaste encore.
Ne jamais oublier d'où l'on vient et de qui l'on tient !
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