Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
lundi 5 mars 2012
Clairvoyance
L'écrivain lut la première critique dithyrambique de son œuvre, enfin un critique clairvoyant ! Incrédule, il en lut une seconde, puis une troisième...
Le goût amer de la gloire...
RépondreSupprimerBien vu !
RépondreSupprimerLa mort n'existe pas... c'est seulement un mauvais roman à passer. Que ta volonté soit fête et bon anniversaire Francky !
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