Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard. "804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
mardi 12 mai 2009
291 – Dwieście dziewięćdziesiąt jeden
1515, 69, 2001, à la bonne heure ! Voilà des nombres pleins, rassurants puisqu'ils disent quelque chose. Mais "807" ! Éric Chevillard, je vous pose sincèrement la question : 807 ! Ce nombre mou, terne, avec un peu de bide tout au plus... même pas sur le départ d'un Vol pour Sidney... Ce petit, ce sans-grade... Avouez : vous l'avez fait exprès ?