Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
dimanche 31 mai 2009
349 – Trecentoquarantanove
Les généticiens nous promettent chaque jour un peu plus d'éternité. Soit ! Mais faudra-t-il aussi qu'à 105 ans je fasse un môme, que je l'appelle Enosh et que je me charge de son éducation jusqu'à 807 ans ?