Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
mercredi 27 mai 2009
338 – Tristo ósemintrídeset
Il a entrepris de compter les raisons qui le poussaient à ne pas travailler. Mais il s'est arrêté à la 807e. Même ça, ça le fatiguait !