La chaude pluie de juin
entre par la fenêtre ouverte. Le salon est aux oiseaux. L’ampelopsis enlace les
solives. Les douces algues grises couvrent la tenture. Dans la cheminée nichent
huit cent sept souris. Du toit presque tombé on voit sortir des saules. Les herbes
soyeuses cachent le seuil. L’homme est mort et comme lui sa maison n’a plus ni
dehors ni dedans.
Maintenant il n’est
rien, maintenant il est tout, sable, animaux, cailloux, fougères, atomes,
encore et encore.
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