Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
samedi 12 septembre 2009
576 – Petsto šéstinsédemdeset
Dans 807 ans, on se souviendra encore des 807 d'Éric Chevillard. Les 807 quoi au fait ?