Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
samedi 26 septembre 2009
615 – Seicentoquindici
On ne peut pas faire grand-chose avec 807 herbes, si ce n'est se plaire à être riche d'un rien. On ne peut pas faire grand-chose avec 807 cactus, non plus. Les laisser crever peut-être ? S'apauvrir ?