Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
dimanche 20 septembre 2009
598 – Quinhentos e noventa e oitp
Il lui a compté 807 grains de folie et autant de beauté. Puis il s'est arrêté et il l'a épousée. Il n'aurait pas dû.