Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
mardi 15 septembre 2009
586 – Quinientos ochenta y seis
Enfant déjà il s'amusait à compter jusqu'à 807. Mais seulement les brins d'ironie, de poésie... Puis, à l'âge mûr, il se spécialisa dans les brins d'herbe.