Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
lundi 21 septembre 2009
602 – Am y draenog
J'ai eu beau consoler 807 fois par jour mon hérisson naïf et globuleux, en lui assurant que non, il ne manquait pas d'élégance, il ne guérit jamais de n'avoir pas eu le fabuleux destin que je lui avais pourtant promis.