Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
samedi 19 septembre 2009
594 – Lăm trăm chín mươi bốn
J’apprends à l’instant qu’une dame de ma connaissance a appelé son chien 807. C’est fou. Certains sont capables de n'importe quoi, juste pour se faire remarquer de Franck Garot.