Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
samedi 26 septembre 2009
617 – Šeststo sédemnajst
J'ai connu un type formidable, un pelleteur de nuages, qui comptait les brins d'herbe. Une fois il est même allé jusqu'à 808 ! Si ! Mais jamais il n'a eu l'idée de le raconter... Quel con !