Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard. "804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
vendredi 18 septembre 2009
592 – Five hundred and nintey-two
J'ai repris le décompte des piquants de mon cactus, car je veux connaître le monde et il faut bien commencer. Mais où en étais-je ? Impossible de me le rappeler. Je suis donc reparti du premier. Parvenu à 807, un peu las, je me suis arrêté. La cactée était vaste encore (ouille !).