Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
mercredi 18 mars 2009
128 – Százhuszonnyolc
Pourquoi écris-je si facilement des bêtises à propos des 807 de salon ? Parce que je ne veux pas être pris pour un écrivain et je tiens à la gloire.