Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
vendredi 20 mars 2009
134 – Stó štíriintrídeset
J'ai écrit 807 signes dans mon carnet puis j'ai passé la nuit à les recompter, mon PC était en panne.