Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
jeudi 19 mars 2009
130 – Một trăm ba mươi
J’ai compté 807 bonnes raisons pour m’arrêter de fumer, puis je me suis arrêtée. Et je me suis servi un whisky.