Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
vendredi 20 mars 2009
133 – Honderddrieëndertig
Un billet daté d’août 2007 ? Non monsieur, ça ne compte pas ! Un texte d’un peu plus de 800 signes ? Non plus ! L’histoire d’un Inuit qui a du sang sur sa chaussette ? Encore moins ! S’il n’y a pas 807 quelque part, allez vous faire voir !