Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
lundi 23 mars 2009
141 – Sataneljäkymmentäneljäyksi
Durant les 807 dernières secondes de sa vie, Nicolas compta et recompta les 807 euros qu'il lui restait ; il espérait, contre toute attente, qu'il y en aurait un peu plus.