Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
samedi 7 mars 2009
94 – Kilencvennégy
J’ai effeuillé 807 fois une marguerite. À la fin, cette plante herbacée de la famille des Astéracées n’était plus que l’ombre d’elle-même.