Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
samedi 21 mars 2009
137 – Cent trente-sept
N°807 sur la liste d'attente pour écrire mon histoire de 807, j'ai bien peur de l'oublier avant que ce soit mon tour !