Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
mercredi 1 avril 2009
168 – Stó oseminšéstdeset
Tourner 807 fois sa langue dans la bouche avant de proférer une très très très grosse bêtise, c'est fastidieux et fait réfléchir.