Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
lundi 6 avril 2009
183 – Cent quatre-vingt-trois
Tu prends 807 trucs. Tu soustrais 807 machins. Tu rajoutes 807 bidules. Ça fait 807 : c’est beau les maths, même si on ne sait pas vraiment à quoi ça sert.