Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
lundi 27 avril 2009
246 – Duzentos e quarenta e seis
À raison d’un triptyque d’aphorismes par jour, au 269e jour la création eût été achevée si Dieu n'avait pas commencé par former des diptyques.