Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
mercredi 8 avril 2009
190 – Százkilencven
Sur le blog littéraire le plus fréquenté de la blogosphère, la République des livres, Pierre Assouline s'avisa un jour de dire du mal d'Éric Chevillard... Ah ! Ça a eu de l'effet ! Et hop : 807 commentaires !