Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
samedi 11 avril 2009
198 – Et hundrede otteoghalvfems
La meilleure chose qui reste de ce voyage, c’est finalement ces 807 photos, qui m’aident à comprendre ici ce qui s’est réellement passé. Je reviens de près.