Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
mardi 14 avril 2009
208 – Dwieście osiem
J'ai fait 807 brouillons, et puis je me suis arrêté. Le 808e tapuscrit, ce serait le bon et je l'enverrais à l'éditeur.