Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
mardi 21 avril 2009
229 – Kétszázhuszonkilenc
Je conseille au 807 de cesser de faire le malin : le 908 et le 706 commencent à en avoir plein le dos des histoires du voisin.