Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
lundi 27 avril 2009
247 – Kaksisataaneljäkymmentäseitsemän
807 fois, 807 807 il attendit l'apparition de son 807, mais il ne fut jamais mis en ligne.