Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
jeudi 9 avril 2009
194 – O sută nouăzeci şi patru
J’ai écrit les 807 premiers mots du grand roman que tout le monde attend, puis je me suis arrêtée : à quoi bon un roman que tout le monde attend.