Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
jeudi 23 avril 2009
235 – To hundrede femogtredve
J'ai fumé 807 cigarettes et puis je me suis arrêté. En 24 heures c'était quand même beaucoup et je m'étais mis à tousser.