Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
mercredi 8 avril 2009
191 – Hundranittioett
807 commentaires, et pas un pour comprendre qu’au fond, le blogueur ne cherchait que le silence. Il en fit le sujet de son billet suivant.