Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
mercredi 15 avril 2009
210 – Hai trăm mười
En repensant à son amour perdu, il laissa couler une 807e larme de ses yeux ; au même moment, il se rendit compte qu'il ne souffrait plus de conjonctivite depuis six mois.