Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
samedi 11 avril 2009
200 – Kaksisataa
De ses 807 périples à travers le monde, il avait sans nul doute préféré le dernier qui, une nuit, l’avait conduit dans les bras de sa mère depuis longtemps disparue.