Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
mardi 28 avril 2009
251 – Двести пятьдесят один
Sans la moindre nostalgie, le divan repensa aux 807 culs qui s’étaient assis sur son dos durant toutes ces années, avant de rendre l’âme dans un ultime soupir de ressort fatigué...