Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
mardi 3 novembre 2009
729 – Seven hundred and twenty-nine
Brel chantait : « Et mon Dieu c'est triste Orly le dimanche / Avec ou sans Bécaud ». Il avait bien raison, 807 fois raison, mon Dieu c'est triste Orly, mais le mardi. Finies les vacances, hélas !