Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard. "804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
dimanche 15 novembre 2009
763 – Setecientos sesenta y tres
Vous savez sans doute que Chevillard pourrait très bien nous assigner pour plagiat et concurrence déloyale. Il est temps qu'on déménage avec nos 807 brindilles péniblement et laborieusement amassées deux fois par jour, tandis que Môssieu au clair de lune et sans effort aucun faisait feu de tout bois...