Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
mercredi 4 novembre 2009
734 – Şapte sute treizeci şi patru
Demain ce sera ma 807e séance chez le psy. Et la dernière. Passer 807 heures (enfin pas tout à fait, car c’est plutôt 50 minutes, comme chacun sait) à se taire, c’est tout de même très très long.