Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard. "804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
mercredi 4 novembre 2009
733 – Settecentotrentatré
Me revoilà pour vous demander une grâce : ne me parlez plus d’Éric Chevillard ni de la bande des 807, militants fanatisés par un leader dont je préfère taire le nom par crainte des représailles. Je suis tombée sur ce forum dans lequel je suis entrée par curiosité et j’y ai lu tellement d’absurdités, que j’ai eu le malheur de vouloir y mettre mon grain de sel.