Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
vendredi 6 novembre 2009
740 – Cемьсот со́рок
La thérapie existe. Au bout de 807 coups sur la tête, on n'essaie plus d'écrire d'aphorismes chevillardiens.