Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
mardi 10 novembre 2009
752 – Settecentocinquantadue
Pierre Ménard a-t-il arrêté Page 48 après la publication de la 48e lecture versatile ? Non. Alors pourquoi arrêter Les 807 après la publication du 807e délire ? Eh bien, donnez-moi 807 raisons de continuer.