Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard. "804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
vendredi 6 novembre 2009
738 – Sedamsto trideset osam
Pendant que l'ami Franck se fait tranquillement dorer la pilule à l'île Maurice en comptant les beautés en bikinis qui virevoltent autour de lui, ses 807 tâcherons aphorisent, aphorisent, aphorisent... non rassurez-vous je ne vais pas l'écrire autant de fois que vous le craignez !