Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
lundi 9 novembre 2009
747 – Bảy trăm bốn mươi bảy
807 mots pour écrire un aphorisme ? Hé bien, il y en a qui ne ménagent pas leur peine... surtout au prix où c'est payé !