Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
lundi 16 novembre 2009
766 – Hétszázhatvanhat
La fin du processus se rapproche... Au sommet de l'Arc de Triomphe a été installée une horloge qui égrènera, le jour venu, les 807 dernières secondes... Qui aura écrit le dernier des 807 ? Le suspense va être insoutenable.