Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
dimanche 7 juin 2009
369 – さんひゃくろくじゅうきゅう
Je compte les poux de ma femme. J'en suis à 807. Parfois ils se cachent et je ne sais pas trop si j'ai compté un seul pou 807 fois ou 807 poux une seule fois. Peut-être devrais-je écraser chaque bestiole que je compte ?