Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
mardi 16 juin 2009
398 – สามร้อยเก้าสิบแปด
Je pense à cette petite fille dont j'ai écrasé les doigts il y a exactement une semaine en refermant la porte du Liseron. Immobile sur le seuil, je décide de compter jusque à 807 pour conjurer le sort. Pourvu qu'elle n'aboie pas !