Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
jeudi 18 juin 2009
404 – Štiristo štíri
Sarkozy, pour brûler les étapes, réduisit la durée de l'année à 5,56 %. Le moment venu, on fêta à Éric Chevillard ses 807 bouts d'an.