Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
lundi 15 juin 2009
395 – Driehonderdvijfennegentig
807 aphorismes sur la même structure, c'est tout aussi lassant et inutile que les brins d'herbe d'une pelouse. Fût-elle celle de Chevillard.