Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
jeudi 18 juin 2009
426 – Quatrocentos e vinte e seis
J'ai mobilisé mes 807 neurones pour qu'ils écrivent un aphorisme original qui parle d'âge, de bougies ou d'anniversaire mais ils ont lamentablement échoué : bon anniversaire Éric Chevillard !